Mortalité…
Toi la mer en sang, que berce le vent,
Sous tous les soleils, éclairant le monde,
Ton ressac, ta houle, à l’est, au levant,
Apaisent mon cœur d’un souffle et d’une onde.
Sous tous les soleils éclairant le monde,
Chantent enfin pour moi, tous mes descendants,
Apaisent mon cœur d’un souffle et d’une onde,
Moi qui suis mortel, aux espoirs ardents.
Chantent enfin pour moi, tous mes descendants,
Contant ma légende et mon grand courage,
Moi qui suis mortel, aux espoirs ardents,
A tous les marins qui feront naufrage.
Contant ma légende et mon grand courage,
L’histoire s’envole au cœur de l’azur.
A tous les marins qui feront naufrage
Je dirais qu’ici, nul endroit n’est sûr.
L’histoire s’envole au cœur de l’azur,
Elle disparaît, si triste poussière.
Je dirais qu’ici nul endroit n’est sûr
Pas plus la mer que la mémoire fière.
Elle disparaît si triste poussière,
La vie fugitive offerte aux humains.
Pas plus la mer que la mémoire fière,
Ne se souviendront de ses lendemains.
La vie fugitive offerte aux humains,
Coule de mes mains, ma grâce éphémère.
Ne se souviendront de ses lendemains,
Que les seuls vivants,l'enfant d'une mère.
Coule de mes mains, ma grâce éphémère
Accueille-les, toi l'onde ne voulant,
Que les seuls vivants,l'enfant d’une mère,
Toi la mer en sang, que berce le vent.
Soyez indulgent, c'est mon premier pantoum.
J'ai voulu faire un parallèle entre la mort et le naufrage, entre la mer et la mère. C'est un poème sur la brièveté de la vie et le brièveté de son souvenir...Et que l'on n'est vivant dans la mémoire des notres que l'espace d'un instant.
C'est une ode à vivre pleinement votre vie dés maintenant.
Toi la mer en sang, que berce le vent,
Sous tous les soleils, éclairant le monde,
Ton ressac, ta houle, à l’est, au levant,
Apaisent mon cœur d’un souffle et d’une onde.
Sous tous les soleils éclairant le monde,
Chantent enfin pour moi, tous mes descendants,
Apaisent mon cœur d’un souffle et d’une onde,
Moi qui suis mortel, aux espoirs ardents.
Chantent enfin pour moi, tous mes descendants,
Contant ma légende et mon grand courage,
Moi qui suis mortel, aux espoirs ardents,
A tous les marins qui feront naufrage.
Contant ma légende et mon grand courage,
L’histoire s’envole au cœur de l’azur.
A tous les marins qui feront naufrage
Je dirais qu’ici, nul endroit n’est sûr.
L’histoire s’envole au cœur de l’azur,
Elle disparaît, si triste poussière.
Je dirais qu’ici nul endroit n’est sûr
Pas plus la mer que la mémoire fière.
Elle disparaît si triste poussière,
La vie fugitive offerte aux humains.
Pas plus la mer que la mémoire fière,
Ne se souviendront de ses lendemains.
La vie fugitive offerte aux humains,
Coule de mes mains, ma grâce éphémère.
Ne se souviendront de ses lendemains,
Que les seuls vivants,l'enfant d'une mère.
Coule de mes mains, ma grâce éphémère
Accueille-les, toi l'onde ne voulant,
Que les seuls vivants,l'enfant d’une mère,
Toi la mer en sang, que berce le vent.
Soyez indulgent, c'est mon premier pantoum.
J'ai voulu faire un parallèle entre la mort et le naufrage, entre la mer et la mère. C'est un poème sur la brièveté de la vie et le brièveté de son souvenir...Et que l'on n'est vivant dans la mémoire des notres que l'espace d'un instant.
C'est une ode à vivre pleinement votre vie dés maintenant.